Renault : record de 1,9 million de véhicules vendus au 1er semestre, objectifs confirmés

Les marques Renault et Dacia ont réalisé un record de ventes sur le semestre
Les marques Renault et Dacia ont réalisé un record de ventes sur le semestre © BERTRAND GUAY / AFP
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avec AFP , modifié à
Le constructeur automobile a réalisé en France "sa meilleure performance semestrielle en véhicules particuliers depuis six ans".

Le constructeur automobile français Renault a annoncé lundi avoir vendu 1,9 million de véhicules au premier semestre, un "nouveau record", et confirmé ses objectifs pour 2017.

Des ventes record. "Nous avons battu un nouveau record avec plus de 1,88 million de véhicules vendus sur un semestre", a déclaré Thierry Koskas, directeur commercial du groupe. Ce semestre, qui fait apparaître une hausse de 10,4% des ventes, "est conforme aux attentes et satisfaisant", a-t-il ajouté lors d'un point presse.

Une progression particulière en Asie et Iran. Toutes les marques du groupe (Renault, Dacia, Renault Samsung Motors et Lada) ont vu leur part de marché augmenter, ainsi que leurs volumes. Le constructeur a fait progresser ses ventes dans toutes les régions, particulièrement en Asie-Pacifique (+50,5%) et en Iran, où elles ont doublé, précise un communiqué. La part de marché du groupe ressort à 4,1%, soit 0,3 point de plus qu'au premier semestre 2016.

Deuxième marque la plus vendue en Europe. Plus de la moitié des ventes (54%) ont été réalisées en Europe, où le groupe enregistre une part de marché de 10,8%. La marque au losange, "deuxième marque la plus vendue en Europe", réalise en France "sa meilleure performance semestrielle en véhicules particuliers depuis six ans". Les marques Renault et Dacia ont réalisé un record de ventes sur le semestre. 

Encore des perspectives de croissance. En 2017, le groupe continue de tabler sur une croissance des ventes en volume de 1,5% à 2,5% sur le marché mondial et de 2% sur le marché européen comme français. Le constructeur a revu à la hausse ses perspectives commerciales pour la Russie et le Brésil sur l'année en cours. Alors qu'ils devaient rester stables, le marché russe "pourrait croître au-delà de 5%" et le marché brésilien "de 5%".