"Le nucléaire a un bel avenir dans le monde", mais aussi en France, a assuré Henri Proglio, le patron d'EDF, mardi sur Europe 1. Au micro au Jean-Pierre Elkabbach, il a mis en avant les "orientations de nombreux pays, notamment en Europe centrale, en Amérique latine et au Moyen Orient".
En France, le président du groupe électrique rappelle que malgré l'opposition d'une partie des écologistes, le gouvernement ne souhaitait pas arrêter le nucléaire mais réduire sa part à 50% de la production électrique du pays.