assemblee nationale - Toute l'info et l'actualité sur Europe 1.

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LR va défendre une ligne plus sécuritaire alors que la France insoumise et les communistes vont dénoncer un "état d'urgence permanent".
L'entreprise de Pascale Fontenel-Personne facturait des visites de l'Assemblée nationale à 119 euros. Des visites pourtant gratuites pour le grand public.
Les élus de tous bords se réunissent pour des séminaires de rentrée cette semaine. Ceux de la REM se préparent à prévenir tout nouveau couac, tandis que les autres groupes peaufinent leur stratégie.
Les députés LR veulent profiter de l'arrivée du texte à l'Assemblée pour faire entendre leur voix sur des sujets régaliens qui leur sont chers. Et leur permettent de marquer leur différence.
Les députés ont rétabli le texte initial du gouvernement alors que le Sénat avait estimé que les "idées et théories" renvoyaient à des notions "aux contours indécis".
Le président de l'Assemblée nationale a estimé lundi que le député LREM M'jid El Guerrab ne devrait pas siéger en commission après sa mise en examen pour agression.
ENQUÊTE - Nouvelle organisation et nouvelle communication : les députés de la majorité ont passé un été studieux à consolider leur connaissance du système parlementaire et à apprendre à parler aux médias.
Pour l'ancien député socialiste Eduardo Rihan Cypel, invité d'Europe 1, lundi, Emmanuel Macron et l'exécutif veulent "corseter le débat" à l'Assemblée.
Les élus dénoncent une "discrimination à l'embauche" avec l'interdiction des emplois familiaux. Ils en appellent à la Déclaration des droits de l'Homme et au Code du travail.
Le groupe Les Républicains estime que l'interdiction des emplois familiaux de collaborateurs constitue une "discrimination à l'embauche".
Les députés ont adopté le projet de loi organique, qui comprend notamment la suppression controversée de la réserve parlementaire.
Le Parlement et le gouvernement prennent leurs premières (courtes) vacances mercredi soir. Et le bilan de cette première phase du quinquennat est en demi-teinte.
En ouverture de la séance à l'Assemblée nationale, mercredi, les députés se sont levés afin de rendre hommage aux militaires renversés à Levallois-Perret dans la matinée.
Le président de l'Assemblée nationale continue de vouloir remettre en jeu, en 2019, une partie des postes d'importance à l'Assemblée nationale, sans pour autant vouloir aller aussi loin que Richard Ferrand, le président du groupe majoritaire.
La session extraordinaire s'achève mercredi à l'Assemblée : les députés doivent voter solennellement la loi de moralisation de la vie publique, promesse emblématique de la campagne d'Emmanuel Macron.
Prévu mercredi, le vote du projet de loi organique doit impérativement se faire à la majorité absolue. Or, beaucoup de députés sont déjà partis en vacances et refusent de revenir.
"Quand je regarde la majorité, j'ai parfois l'impression qu'ils font de la politique comme on en faisait sous l'Empire romain", dénonce l'ancien ministre dans un entretien au JDD.
L'adoption définitive du texte aura lieu le 9 août.
Les députés ne pourront plus exercer une activité de représentant d'intérêts.
Eric Coquerel a proposé s'en est pris au président de l'Assemblée nationale et proposé de s'interroger sur le train de vie "dispendieux" de l'institution.
Ce projet de loi ordinaire pour la "confiance dans la vie politique" a été approuvé par 383 voix contre 3, et 48 abstentions.
Un vote sur la moralisation de la vie publique est prévu le 9 août prochain. Certains élus ont annoncé qu'ils ne siégeront pas.
Le vote du Sénat donne définitivement l'aval au gouvernement pour légiférer sur la réforme du Code du travail par ordonnances.
Laurianne Rossi a été frappée au visage par un homme alors qu'elle distribuait des tracts sur un marché de Bagneux.
Les conditions de retraite des députés seront celles de la fonction publique, avec une application immédiate mais non rétroactive.
Le président de l’Assemblée nationale présente mercredi ses mesures pour moderniser l’hémicycle.
Louis Aliot a fustigé le "manque de préparation, d'organisation" à l'Assemblée nationale, où se tiennent les débats sur le texte de moralisation politique.
La décision de convoquer l'Assemblée le 9 août a été immédiatement critiquée par le leader de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon.
L'année électorale a été chargée et les élus de l'Assemblée attendent désormais de prendre un peu de repos.
Très critiqué à gauche, Le projet de loi avait été approuvé par l'Assemblée le 13 juillet, puis au Sénat jeudi dernier dans des versions différentes.