Thomas Dutronc le confiait il y a encore peu de temps sur Europe 1 : "Django Reinhardt est mon Dieu depuis très longtemps". Chez Anne Roumanoff jeudi, le chanteur évoque cet artiste fondamental dans son parcours artistique, tout comme la culture manouche, dans laquelle il baigne depuis plusieurs années.
Rocky Gresset, "c'est d'un niveau international". Le chanteur sort un nouvel album en cette rentrée, Live is love. Un nouvel opus sur lequel plane de nouveau l'ombre de Django Reinhardt et de la culture manouche. "Je suis un fou de Django Reinhardt", rappelle l'artiste, "j'ai eu la chance de rencontrer beaucoup de musiciens manouches très doués", explique-t-il. Sur ce projet, Thomas Dutronc est entouré de Pierre Blanchard, Jérôme Ciosi ou encore Rocky Gresset. Sur ce dernier, le chanteur ne tarit pas d'éloges. "À certains moments, il fait des solos... c'est d'un niveau international ! Si Diana Krall l'entend, elle va vouloir me le piquer", plaisante l'interprète de J'aime plus Paris.
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"Je ne suis pas voyeur et je ne fais pas d'ethnologie". Au micro d'Europe 1, Thomas Dutronc tient à le souligner. "Moi au début j'aimais Django Reinhardt comme ça, puis quand j'ai connu cet univers (la culture manouche, ndlr), cela m'a attiré et intéressé de plus en plus. (...) Je ne suis pas voyeur et je ne fais pas d'ethnologie : on est copains, on aime la musique, boire un verre ensemble et écouter des belles choses", fait savoir le chanteur. Live is love est aussi le témoin de cette état de fait. "Dans ce disque, on se connait tous depuis 20 ans", confie Thomas Dutronc, "c'est de l'amitié, la famille, l'envie de faire de la bonne musique."