Jérôme Commandeur, Marie-Anne Chazel et Thierry Lhermitte dans "Ma famille t'adore déjà !" 15:08
  • Copié
A.D
L'acteur joue dans le film de Jérôme Commandeur et Alan Corno, Ma famille t'adore déjà.

Comme Christian Clavier, son compère du Splendid, qui découvrait ses futurs gendres dans Qu'est-ce qu'on a fait au bon dieu ?, Thierry Lhermitte plonge dans la comédie familiale. Il incarne un père "psychorigide et fantasque" qui rencontre le compagnon de sa fille dans le premier film de Jérôme Commandeur et Alan Corno, Ma famille t'adore déjà !. L'acteur a présenté ce nouveau rôle dans Un dimanche de cinéma.

Présentations. "Ça m’a fait marrer de faire cette composition de mec absolument odieux et barré. L’ambiance du film est vraiment bien. Il y a une histoire centrale avec un couple d’amoureux, des jeunes, et tout le monde autour d’eux est complètement dingue", la mère jouée par Marie-Anne Chazel ou encore le frère, campé par Jérôme Commandeur. "Il n'était pas stressé du tout sur le tournage", raconte Thierry Lhermitte à l’évocation du chroniqueur d'Europe 1 qui avait écrit le rôle pour Lhermitte en personne. "Il était jovial, de toute façon, c'est un mec hyper sympathique. Il m'a convaincu facilement. J'ai lu et répondu vite, c'est un mec que j'apprécie."

Au-delà du cinéma. Même si sa filmographie s'avère riche de 130 titres, Thierry Lhermitte s'accorde de longues plages pour ses autres passions : la montagne, la voile - il a d'ailleurs fait un tour du monde en 1987 - et les chevaux. "Les choses m'intéressent et je suis un peu obsessionnel, donc quand je commence un truc, je le fais à fond. C'est des rêves aussi. Quand on aime le ski comme j'aimais ça, l'idée de pouvoir passer un an à la montagne et d'en faire autant qu'on veut, je l'ai vécu, c'était merveilleux. La voile, c'est pareil. Je suis heureux d'avoir vécu ça et de pouvoir continuer avec les chevaux aujourd'hui."

La recherche ? Le contraire de la politique. L'acteur trouve aussi le temps de se consacrer à la science en étant le parrain de la fondation pour la recherche médicale. "J'éprouve un intérêt profond pour des gens qui avancent pas à pas, qui sont obligés de prouver tout ce qu'ils disent. C'est le contraire des discussions politiques."