Fanny Ardant : "Il ne faut pas aimer à moitié, pas pleurer à moitié, pas vouloir mourir à moitié"

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"J’ai vraiment vécu, j’ai toujours pensé la même chose : on n'avait qu'une vie, il ne fallait pas aimer à moitié, pas pleurer à moitié, pas vouloir mourir à moitié", a confié Fanny Ardent à Nikos.
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Sur Europe 1, l'actrice évoque sa manière d'aborder la vie et sa carrière, forte de plus de cinquante films.

1981. Fanny Ardant se révèle aux yeux du grand public dans La femme d'à côté de François Truffaut. Son quatrième film, loin d'être le dernier. Dans De quoi j'ai l'air?, l'actrice revient sur sa manière d'aborder la vie tout au long de ses années de carrière.

Dès son plus jeune âge, Fanny Ardant a opté pour l'aventure. "J'ai vraiment vécu et j'ai toujours pensé la même chose : on n'a qu'une vie", explique-t-elle. Il a donc fait le choix de "l'intensité", selon ses propres mots. La comédienne résume ainsi ses choix de carrière : "Je préférais avoir une vie intense, qu'une vie comme La Petite maison dans la prairie".

Fanny Ardant, qui s'exprime dans les médias, a réservé de nombreuses confidences à Nikos Aliagas et à Europe 1. "Très jeune, j’ai été obsédée par l’amour, je pensais que c’était la seule chose intéressante de la vie, tomber amoureux, conserver l’amour, perdre l’amour", a dit par exemple cette femme passionnée. Une ambition traduite par une volonté de vivre sa vie pleinement, sans ambiguïté : "J’ai vraiment vécu, j’ai toujours pensé la même chose : on n'avait qu'une vie, il ne fallait pas aimer à moitié, pas pleurer à moitié, pas vouloir mourir à moitié".