LE 18H’ - Quand Raffarin pastiche Trierweiler

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Fabienne Cosnay , modifié à
LEGISLATIVES - Les suites de l'affaire Trierweiler, Royal donnée perdante, voici notre carnet de campagne.

Besoin d’un brief sur la journée politique ? Europe1.fr vous propose un résumé de ce qui s’est passé aujourd’hui, en 3 minutes chrono’.

ILS L'ONT FAIT

# Le sondage du jour : Royal donnée battue

Ségolène Royal, dimanche soir, à La Rochelle

Olivier Falorni, tombeur de Ségolène Royal ? C'est ce que laisse présager un sondage Ifop/Fiducial pour France Bleu La Rochelle, Sud Ouest et France 3 Poitou-Charentes réalisé lundi et mardi, soit avant et après le tweet de soutien de Valérie Trierweiler au dissident socialiste. L'ancienne candidate à la présidentielle serait très largement battue dans la première circonscription de la Rochelle, avec 42% des voix contre 58% pour son rival Olivier Falorni. Le candidat dissident profiterait pleinement des voix des élec teurs de l'UMP.

# Le chiffre du jour : 450.000 euros

C'était l'une des promesses de campagne de François Hollande. Le ministre de l'Economie Pierre Moscovici a présenté mercredi le projet de décret visant à encadrer les rémunérations pour les dirigeants des entreprises à capitaux publics. Celles-ci seront plafonnées , dès 2012 ou 2013, à 450.000 euros annuels.

ILS L'ONT DIT

# Le tweet du jour : Raffarin pastiche Trierweiler

Jean-Pierre Raffarin a de l'humour. L'ancien Premier ministre a pastiché sur son compte Twitter le message de soutien de Valérie Trierweiler à Olivier Falorni, pour soutenir un inconnu du grand public, Olivier Chartier, candidat UMP dans la 2e circonscription de la Vienne. Voilà ce que ça donne.

# La confidence du jour : "Allo Ségolène, c'est François…"

C'est le Nouvel Obs qui rapporte la confidence. Valérie Trierweiler n'aurait pas supporté un coup de fil passé par François Hollande à son ex-compagne, en difficulté dans la première circonscription de La Rochelle, dimanche soir. "Allô Ségolène, c'est François... Ce dimanche soir de premier tour des législatives, dans la voiture qui le ramène de Tulle, Hollande est pendu au téléphone", rapporte l'hebdomadaire. Le président tente de "requinquer" Ségolène Royal. Une attention de trop pour Valérie Trierweiler.