L'Elysée lance son site "made in France"

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avec AFP , modifié à
La cellule web de l'Elysée insiste sur le faible coût de cette plateforme "de technologie française".

François Hollande prend les rênes du site Elysee.fr. La présidence de la République lance dans la nuit de lundi à mardi une refonte de son site. Pour cette nouvelle version, la cellule web de l'Elysée, insiste sur le faible coût de cette plateforme "de technologie française".

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Plus de réactivité. Sur la forme, les contenus s'articuleront désormais autour d'une frise chronologique censée améliorer la lisibilité du site. Sur le fond, la cellule web proposera de nouveaux contenus multimédias, notamment des live-tweets et des diffusions en streaming des discours du président François Hollande.

Elysée.fr bandeau

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Elysée mess

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Un site "low-cost". "Nous avons dû composer avec un budget serré, indique Romain Pigenel, co-responsable de la cellule web. Nos effectifs sont passés de huit à six personnes, tout en intégrant deux ingénieurs responsables de la technique."

"En internalisant la partie technique du site, nous avons divisé par quatre les coûts de maintenance", assure Frédéric Giudicelli, co-responsable de la cellule. L'Elysée a confié le design, l'accessibilité et l'hébergement de son nouveau site à des entreprises extérieures, pour un budget de "50.000 euros".

Un site "made in France". La cellule Internet s'enorgueillit d'avoir conçu un site "de technologie française", la présidence ayant fait appel à des entreprises hexagonales. "Même la police d'écriture du site est de conception française, elle est l’œuvre de Jean-François Porchez, un des plus grands typographes français", précise Romain Pigenel.

Trierweiler

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Bonus : une page pour la première Dame. Autre nouveauté, révélée par Europe 1 dès le 21 novembre dernier, la compagne du chef de l'Etat, Valérie Trierweiler, fait son retour sur le site de la présidence, après en avoir disparu au mois de juin. Elle disposera d'une section relatant ses actions, notamment humanitaires, en tant que première dame.