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SAISON 2013 - 2014

Aujourd’hui c’est la Journée Internationale des Câlins ! Cette journée ne date pas d’hier, elle été a créé en 1986 par le révérend Kevin Zaborney.

Thomas. C’est un sujet que vous aimez bien ! Vous allez nous parler de câlins !

Yolaine : D’abord parce que tout le monde adore ça, et puis qu’aujourd’hui c’est la Journée Internationale des Câlins! Cette journée ne date pas d’hier, elle été a créé en 1986 par le révérend Kevin Zaborney qui s’est rendu compte que les gens dépriment après la période de fêtes car ils sont en manque d’affection. Alors aujourd’hui Thomas et chers auditeurs, faites  des câlins, ça réduit le stress, ça combat la dépression, c’est gratuit et drôle, bref idéal !

Thomas. C’est certainement bon pour le moral et la santé ! Surtout pour les enfants je suppose 

Yolaine : Yes ! Une étude de la Washington University montre que câliner beaucoup un enfant développe la partie de son cerveau qui contrôle la mémoire, l’apprentissage et la gestion du stress. Chez l’enfant mais aussi chez l‘adulte, les gestes de tendresse font baisser la pression artérielle, renforcent le système humanitaire et peuvent même soulager les maux de têtes. Donc le coup du « pas ce soir, j’ai mal à la tête » ça ne fonctionne pas, car rien de meilleur qu’un gros câlin !

Thomas. Les câlins ne sont apparemment pas réservés qu’aux êtres humains : on en voit qui en font aux arbres, ça fait un peu délire hippie non ?

Yolaine : Non, c’est très sérieux : un grand nombre d’études prouve que prendre un arbre dans ses bras améliore le temps de réaction, le niveau de concentration, et aide à combattre la dépression ainsi que d’autres formes de maladies mentales. La majesté, la stabilité, la force de l’arbre semblent avoir des effets psychologiques sur notre mental. Si vous n’avez pas d’arbre à portée de main, allez dans un jardin public, parfois certains y déposent un panneau avec inscrit  « câlin gratuit ».Aux USA c’est la nouvelle mode! En attendant que cela se fasse plus souvent en France, mon cher Thomas, je n’aurais qu’un mot : dans mes bras !