Prison-tract sexiste : surveillants relaxés

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avec AFP

Deux surveillants pénitentiaires et le syndicat Force ouvrière, poursuivis par la directrice et deux adjointes de la prison de Maxéville (banlieue de Nancy) après la diffusion d'un tract qu'elles considéraient sexiste, ont été relaxés lundi par le tribunal correctionnel de Nancy.

Titré "Besoin de curtage à Nancy", par allusion au patronyme de la directrice, Aude Curto, le tract en question ironisait notamment sur le fait que l'établissement était dirigé par "pas moins de quatre femmes".