Quatre membres de la communauté des gens du voyage ont été placés en garde à vue mercredi mercredi, trois jours après des violences qui ont secoué Saint-Aignan, dans le Loir-et-Cher.
Le parquet de Blois a ouvert deux informations judiciaires parallèles, sur les circonstances de la mort du jeune Luigi Duquenet et sur les risques encourus par les gendarmes qui tentaient de le stopper.
Les premières investigations ont conduit la justice à estimer que le gendarme qui a utilisé son arme de service était en légitime défense puisque le véhicule avait refusé de s'arrêter et fonçait sur son collègue. Mais la communauté des gens du voyage conteste cette thèse.